Immunodépression et moustiques

Les moustiques ne sont pas uniquement source de nuisance, ils sont également vecteurs de maladies graves appelées arboviroses, telles que la dengue, le paludisme, le chikungunya ou encore le virus Zika. Pour les personnes immunodéprimées — c’est-à-dire dont le système immunitaire est affaibli par des traitements contre le cancer, des greffes, le VIH ou d’autres pathologies chroniques — le risque est plus important.

Il est donc primordial d’utiliser un répulsif cutané efficace contre les moustiques et les tiques, tout en adoptant des gestes simples pour réduire au maximum l’exposition à ces insectes.

Pourquoi les personnes immunodéprimées doivent-elles impérativement se protéger des moustiques ?

Un système immunitaire affaibli par une immunodépression est moins performant pour lutter contre les infections virales et parasitaires. En cas de piqûre par un moustique porteur d’un virus, le risque de développer une forme grave de dengue, de paludisme ou de chikungunya est fortement majoré. Ces maladies peuvent entraîner des complications sévères, telles que des troubles neurologiques, des atteintes hépatiques, des problèmes respiratoires ou des hémorragies.

Contrairement aux idées reçues, ces virus ne sont pas cantonnés aux zones tropicales. En effet, le moustique tigre s’est largement implanté en métropole, touchant désormais une grande partie du territoire français. En 2024, la France métropolitaine a enregistré un record de cas de dengue, qu’ils soient importés (contractés lors d’un séjour en zone tropicale) ou autochtones (transmis localement). Entre le 1er janvier et le 15 mai 2025, Santé publique France a déjà recensé plus de 1100 cas importés de dengue et plus de 900 cas importés de chikungunya (Source : cp_surveillance_renforcee_arboviroses_20250515, Santé publique France).

Comment se protéger efficacement ? Les gestes incontournables

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Pour protéger votre santé, il est essentiel d’adopter les bons réflexes. Les personnes immunodéprimées doivent redoubler de vigilance. L’application régulière d’un répulsif puissant constitue une mesure de prévention indispensable, à combiner avec d’autres protections physiques. Portez des vêtements longs, amples et de couleur claire, qui réduisent les zones de peau exposées. Veillez également à éliminer toute eau stagnante aux alentours de votre domicile — soucoupes, pots de fleurs, gouttières — qui constituent les sites favoris de reproduction des moustiques. Pensez aussi à installer des moustiquaires dans votre habitation.

Pour les personnes en cours de chimiothérapie, il est crucial d’utiliser des produits doux pour la peau. En effet, la chimiothérapie fragilise fortement la barrière cutanée, rendant la peau plus fine, sèche et irritée, souvent sujette à des rougeurs, démangeaisons ou desquamations. La cicatrisation est plus lente, et les inflammations plus fréquentes.

Dans ce contexte, l’utilisation de produits agressifs ou trop chargés en actifs chimiques peut provoquer des brûlures, des réactions allergiques, voire favoriser l’apparition de dermatites ou d’eczéma. Cela ouvre la porte à des infections cutanées potentiellement dangereuses chez une personne immunodéprimée.

Le répulsif BODYGUARD Peaux sensibles a été cliniquement testé et approuvé pour une utilisation sur les peaux fragilisées, notamment celles ayant subi des traitements de chimiothérapie. Après 28 jours d’application biquotidienne sur des patients de 31 à 83 ans, hommes et femmes, tous présentant des troubles cutanés liés à la chimiothérapie, 100 % ont validé la facilité et la rapidité d’application. De plus, 100 % ont confirmé que le produit hydrate, nourrit et laisse la peau douce, sans provoquer de nausées ou d’irritations, respectant ainsi pleinement la sensibilité cutanée.